NON
à la transformation
de nos villages
en zones industrielles !

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Le 28 septembre, les citoyennes et citoyens du Chenit  se prononceront sur le Plan Directeur Régional des Zones d'Activités (PDRZA) de la Vallée de Joux.

Ce site a pour but d'exposer les arguments du comité opposé à ce PDRZA et de mettre à disposition les documents officiels communaux et des articles parus dans la presse (avec l'accord de leurs auteurs).

4 arguments contre ce PDRZA

NON à la transformation de nos villages en zones industrielles
Ce projet prévoit de sacrifier 96’150 m² (13 terrains de football) de terres agricoles dans les périmètres villages du Chenit pour y implanter de vastes zones industrielles (L’Orient-Trési / Le Brassus-Ordons Sud), qui viendraient s'ajouter aux 230’190 m² (32 terrains de football) déjà existants. Cela signifie une augmentation de 42% des surfaces dévolues à l'industrie! Nos villages et nos paysages seront défigurés au profit de grands bâtiments. Ce n'est pas un hasard si la commission ad-hoc du Conseil communal a qualifié à l'unanimité ce projet d’« excessif et démesuré ».

NON à un trafic pendulaire ingérable
L'afflux massif de véhicules générerait un cauchemar routier sur un réseau déjà « passablement mis à mal ». L'étude de mobilité présentée le 9 mai 2022, est sans appel : le trafic passerait de 26'600 véhicule/jours à 34’100 véhicules par jour d'ici 2030, provoquant une « forte saturation ». Nos routes, avec une augmentation d’env. 35% du trafic d'échange, deviendraient des fleuves de voitures aux heures de pointe, étouffant nos villages.

NON à des mesures d’accompagnement illusoires
Pour contrer ces nuisances, la Municipalité compte sur le développement de la mobilité douce, du covoiturage et des transports publics. Or, l'efficacité de ces mesures reste « incertaine » face à l'ampleur du projet. Améliorer les transports transfrontaliers ou rendre les parkings privés payants repose sur des décisions hors du contrôle des autorités communales. Peut-on bâtir l’avenir de notre mobilité sur des promesses fragiles?

NON à la mise sous tension de nos ressources naturelles
Avons-nous les ressources? Le comité référendaire s'inquiète d'une « charge excessive sur les ressources en eau disponibles ». La sécheresse de 2022, qui a entraîné des restrictions d'usage, a déjà prouvé la fragilité de notre approvisionnement. Face à cela, la solution envisagée de puiser dans le lac de Joux est une « aberration », le véritable « point de basculement où l’on tombe dans la surconsommation ».

En conclusion
Refuser ce PDRZA, c'est exiger que la croissance ne se fasse pas au détriment des habitants ou de nos ressources. Avant tout, il faut un projet qualitatif et non quantitatif, qui préserve la qualité de vie à laquelle les Combiers tiennent.

NON !

Refusons ce projet déraisonnable. La Vallée de Joux n'est pas une zone industrielle extensible. Notre cadre de vie et nos ressources sont l'héritage de nos enfants.
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